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 legend has it, when the Santa Anas blow, anything can happen (lennarrare)

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Devlin Tarrare
- madame irma vibes -
Devlin Tarrare
- madame irma vibes -
damné(e) le : o28/10/2019
hurlements : o4506
pronom(s) : oshe / her
cartes : oava fürelise la perfection // sign exordium // montage par jiji la plus jolie // moodboard par le plus parfait des maris
bougies soufflées : o35
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when the Santa Anas blow, anything can happen
Derniers préparatifs. C'était ce qu'il s'était dit toute la journée, Tarrare, en empilant toujours plus de petits plats dans les grands. Parce que la série de sms qu'ils avaient échangée avec Lenny était toujours aussi vivace dans son esprit. Parce que c'était sensé être une soirée en toute simplicité sauf qu'un élément s'était ajouté, changeant complètement la configuration et des lieux, et l'intention du moment. Tout devait être parfait, sans en avoir l'air. Parce qu'il ne s'agissait pas que d'une soirée entre potes, non.
De base, tout aurait déjà dû être parfait. La première soirée de cette période non-officielle, où les décorations d'Halloween commençaient déjà à se frotter à celles de Noël, dans l'appartement des mariés. Les premières citrouilles n'étaient même pas encore sorties que les guirlandes l'étaient, elles, déjà. Se mêlaient aux toiles d'araignées synthétiques, pour le plus grand bonheur des deux boules de poils qui régnaient dans l'appartement. Une tradition qui n'était qu'à peine née qu'elle était devenue sacrée, tout du moins aux yeux de Devlin. Les événements récents, Zak, son amnésie, avaient rappelé plusieurs choses au devin : même s'il était capable de prévoir certaines choses, il n'était pas responsable de tout ce que l'avenir apporterait. Pire, il n'aurait probablement que très peu de contrôle dessus. Et, dans un contexte aussi incertain que celui dans lequel les deux mariés évoluaient, chaque événement était important. Alors il avait pris sur lui, Devlin, de rendre à chaque petit moment son petit côté "qui compte". Avec Barbie. Avec les siens, même à distance. Le sourire solaire de Geeta planté dans le coeur, qu'il s'attaquait aux autres. A Lenny, qu'il avait été naturel d'inviter pour une des toutes premières soirées ciné de cette période un peu spéciale qu'ils étaient tous en train d'inventer.
Parce qu'entre le gang, le Foyer Rouge, sa maladie, et toutes les autres merdes de la vie qui pouvaient leur tomber sur le museau, il voulait profiter encore plus de ce que la vie pouvait lui offrir.

Même si ce fameux échange de sms avait quelque peu changé sa vision d'une soirée qui s'annonçait de base inconséquente. Conforté dans l'idée qu'ils s'en serviraient pour décortiquer tout ce qu'ils auraient sous les yeux, Barbie et lui, Devlin s'était attelé aux préparatifs. Avait profité d'avoir sa journée pour préparer quelques encas, principalement des snacks, majoritairement sucrés, pour la soirée. Les bonnes odeurs flottaient encore dans l'appartement alors qu'il sortait la dernière fournée de biscuits du four. Leurs invités n'allaient probablement pas tarder, le programme cinématographique, lui, était déjà tout trouvé. The Holiday en tête de gondole, la deuxième partie de soirée -si deuxième partie ciné il y avait- serait probablement un film d'horreur.

-B, dis, c'est pas overkill d'enchaîner The Holiday et un film d'horreur ? J'veux dire... C'est un peu le programme idéal pour chopper, ça, non ?

Pas que ça le dérange, si cela signifiait passer une soirée plus qu'agréable en compagnie du bouclé qu'il venait de rejoindre. Passa un bras autour de sa taille pour le capturer, quoi que ce soit qu'il ait été en train de faire, se lover dans son dos et glisser son menton au creux de son épaule. Les bouclettes brunes de son mari lui chatouillèrent le museau. Il grimaça, le devin. La perspective, du moins le choix d'accompagnant de son meilleur ami ne l'enchantait pas vraiment, et Barbie était parfaitement au courant. Trois jours qu'il l'entendait râler.

-Finalement heureusement qu'il a pas invité Kyle. Ca aurait été le drame, vingt ans de thérapie pour les chats, j'ose même pas imaginer.

Toujours lové dans le dos de son époux, à laisser couler le fil de ses pensées comme elles venaient. Déposa un baiser sur la joue de l'Homme-Enfant, sur un :

-Tu sens carrément trop bon, j'espère qu'on va conclure nous aussi !

Avant de se laisser aller à un ricanement contre la peau douce de son époux. De se laisser aller tout court dans l'étreinte, relâchant enfin la pression maintenant que tout était quasiment prêt. La sélection de films était facilement disponible, en particulier la star de la soirée dont il avait carrément le DVD, au cas où une coupure les prive de connexion internet. Un boitier abîmé, sur lequel le prénom de Geeta était écrit dans sa jolie écriture toute courbe, qui avait suivi le routard partout où il allait. Pas que le film soit son préféré, mais il avait une affection toute particulière pour tous les souvenirs qui y étaient associés. Il s'était juré de le faire voir à Lenny, Barbie ayant déjà fait les frais de la nostalgie de son mari.

-T'es sûr que ça te dérange pas de revoir The Holiday, mon coeur ? On peut toujours changer au dernier moment hein.

Sans trop savoir si c'était la pression qui redescendait ou le trac en ascension. Il connaissait qui Lenny leur ramenait, Devlin. Pas parfaitement, pas en dehors du travail, uniquement à travers plusieurs filtres qui ne rendait pas une image forcément très éclatante du personnage. Espérait être à la hauteur au moins autant que de ne pas faire de vagues. Le bonheur des siens passait avant tout. Il finit par relâcher Barbie dans un soupir, lui rendant sa liberté et son espace, le bout des doigts hésitant pourtant à lâcher entièrement ses hanches. Il était idiot de réagir comme ça, il le savait pourtant parfaitement. Avait pourtant eu la même réaction quand Geeta avait parlé de son premier copain, le premier qui comptait. La crainte au bide qu'il lui fasse du mal, et la certitude pour Lenny que c'était déjà fait. Mais tout serait parfait, au moins pour cette soirée. Il recula d'un pas. Le flash de lumière l'aveugla complètement, malgré que ses yeux roulent en arrière dans leurs orbites.

La tête de mort. Il la voit.
Il la reconnaît.
Elle le terrifie.

-Mon amour, t'as rangé ton blouson ?

Bruit blanc aux oreilles, alors qu'il portait la main à son front. Les visions étaient toujours aussi désagréable, venaient toujours autant de nulle part. Laissaient toujours le même sillon de douleur dans son crâne, comme si une lame s'enfonçait dans sa cervelle. Il avait bien fini par s'y faire, maintenant. Savait que pincer l'arrête de son nez, entre ses yeux, permettait aux effets de s'estomper. Il n'eut pas le temps d'élaborer sur ce qu'il avait vu que la sonnette retentit dans tout l'appartement. Deux boules de poils, l'une tigrée, l'autre noire comme l'abîme, fusèrent entre leurs jambes jusqu'à l'entrée. Devlin s'autorisa de voler un dernier baiser, rapide, à son mari avant de rejoindre le vestibule. Deux hommes attendaient sur le pallier, et ce n'étaient pas des témoins de Jéhovah. Il leur ouvrit avec un immense sourire.

-Heyyyyyyy ! Venez, venez, faut juste faire attention à Void, il a tendance à vouloir filer !

Bon, il était quand même bien content de les voir. Malgré les appréhensions, vis à vis d'Ari comme de lui-même. Câlin en bonne et due forme avec Lenny, poignée de main avec son accompagnant. Aucune idée de s'ils étaient en avance ou en retard, et ça n'avait aucune importance. Remarqua les bras d'un des deux chargés de ce qui avait l'air d'être un plat, ainsi que la couleur caractéristique d'une pochette de chez Zanoro's. Le devin déchargea le précieux butin avec grand plaisir.

-Oh la très très bonne idée, c'est quoi ? On peut goûter maintenant ou c'est pour plus tard ?

Qu'importait qu'il se soit échiné en cuisines pendant de longues heures. Il avait décidé de vivre au jour le jour, de profiter de l'instant présent, de s'engorger de tout ce que la vie avait à lui offrir, et c'était exactement dans le thème. Les accents sucrés laissaient entendre des merveilles, sous le papier d'alu qui protégeait le plat. La démarche leste, en allant déposer les victuailles au salon. Derrière lui, ça discutait déjà.
Peut-être qu'au final, ils passeraient une relativement bonne soirée.





L O V E
by QQ & EXORDIUM.

quand Barbie vit mal son régime:
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Barbie Tarrare
- skip, petit mais puissant -
Barbie Tarrare
- skip, petit mais puissant -
damné(e) le : o07/10/2019
hurlements : o4829
pronom(s) : oshe/her.
cartes : o(av/icons) fürelise (cs/gif/sign) tucker.
bougies soufflées : o34
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when the santa anas blow, anything can happen
Il avait passé de longues minutse à expliquer aux chats qu'il ne fallait pas manger les décorations, surtout pas les toiles d'araignées synthétiques qui finiraient par les rendre malades. L'autorité n'était pas son fort, surtout en ce qui concernait ces deux créatures ; il en aurait presque acheté des décorations comestibles pour qu'elles puissent se faire un festin. Les deux chats méritaient bien un tel traitement alors que la soirée s'annonçait mouvementée pour eux, un inconnu dans le salon pouvait les déstabiliser dans leurs habitudes. Barbie avait acheté des friandises pour les féliciter, les remercier, leur faire oublier qu'un intrus avait pénétré leur domicile. Et certainement qu'il aurait dû en offrir également à son mari, ce dernier semblant le plus déconcerté de tous concernant la soirée à venir. Il avait essayé de le rassurer ces derniers jours, de lui répéter que tout se passerait bien, mais sentait toujours la tension chez lui. Il savait qu'au-delà du fait d'être un hôte remarquable, Devlin n'avait pas passé la journée dernière les fourneaux uniquement pour bien recevoir. Il s'était occupé l'esprit, certainement, pour ne pas penser au pire - à cet homme qu'il songeait scruter avec insistance pour s'assurer que son meilleur ami fasse les bons choix. L'infirmier en ferait de même, épaulerait son époux pour qu'il ne traverse pas cela tout seul. Il se portait volontaire pour mettre un coup de pression à cet Ari, si son amour pensait que c'était nécessaire.

Il relâcha Trésor pour la laisser gambader dans l'appartement, et sourit en sentant les bras de son homme s'enrouler autour de sa taille. Il pencha la tête sur le côté pour la poser contre la sienne, et essaya de ne pas alimenter ses peurs avec une réponse qu'il n'attendait pas. Mais Devlin avait raison, deux films pareils faisaient passer par toutes les émotions, de quoi éveiller n'importe quel flamme ; surtout la leur, mais ils devaient se tenir. Il passa son bras derrière lui pour venir caresser celui de son compagnon, les doigts serrant doucement sa peau pour le rassurer comme il pouvait.

« — C'est pas notre but de les mettre ensemble ? Mince, j'dois annuler les alliances alors. »

Il n'avait plus que l'humour pour le rassurer, savait qu'il lui serait impossible de le faire souffler autrement ; il avait déjà essayé le reste, et ses petites attentions ne faisaient qu'apaiser la tempête, sans réellement l'éradiquer. Il continuait de caresser la peau de son bras, fermant les yeux pour profiter de l'étreinte, et finit par ricaner à l'évocation de Kyle. Il aurait pu le faire venir, le faisait parfois pour l'affronter à Mario Kart, mais ce n'était pas la meilleure idée, pas alors que la soirée ne devait pas se terminer en séance de catch, et sachant la relation qu'entretenait le garagiste avec Lenny. Il n'osait pas imaginer l'erreur qu'aurait été de rassembler Lenny et plusieurs de ses amants ; Ari était déjà un grand dilemme pour le divinateur, chaque chose en son temps.
Il voulut lui dire de ne pas être trop dur avec Kyle, qu'il lui en voulait juste d'être un tricheur ; il était persuadé qu'il l'était, ne pouvait pas tant gagner en étant si nul - à ses yeux. Mais Devlin reprit la parole, l'empêcha de donner de telles informations, aussi inutiles, alors qu'il aurait eu mieux à faire. Tu sens carrément trop bon, j'espère qu'on va conclure nous aussi. Il arqua plutôt un sourcil, et profita de la sensation de ses lèvres contre sa joue, se retournant ensuite pour lui faire face. Il se mit sur la pointe des pieds pour être à sa hauteur et l'embrassa doucement.

« — Ne dis pas des choses pareilles, j'te jure que je les laisse pas rentrer sinon. »

Il posa ses mains sur ses hanches à son tour, revenu sur ses talons il posa la tête sur l'épaule de son époux, satisfait de sentir ses membres un peu plus détendus que ces quelques jours passés. Il posa une main sur sa bouche à l'évocation du film, comme s'il se souciait réellement de ce qu'ils comptaient voir. Il n'était pas là pour ça, plus alors qu'il savait qu'il avait une mission - toujours très sérieux dans ces moments-là, comme lorsqu'il devait partir avec le reste du gang pour des aventures plus périlleuse. Il se hissa pour déposer un baiser sur le bout du nez du devin, et lui sourit.

« — Tais-toi. »

Il le relâcha à son tour, et s'occupa de ramasser les dernières guirlandes que les chats avaient commencé à ronger. Il les enroula entre elles, et les mis de côté en attendant de leur trouver une nouvelle place. Mon amour, t'as rangé ton blouson ? Il se remit debout, prêt à rejoindre Devlin pour lui donner un verre d'eau, essayer de chasser le mal qui commençait à imprégner son esprit, quand la sonette retentit. Il donna un baiser à son mari, puis profita qu'il aille ouvrir pour attraper son blouson ; que personne ne devait voir, le motif à l'arrière en disant bien trop sur ses activités. Il l'envoya dans sa chambre, sur la chaise, et referma pour venir épauler son compagnon à l'entrée.
Légèrement en retrait, il attendit que les deux hommes entre dans l'appartement pour les saluer. Il offrit à Lenny l'accolade habituelle, puis tendit la main pour serrer celle d'Ari avec un peu plus de force. Il ne l'avait jamais réellement approché, ne put s'empêcher de lui jeter un regard de la tête aux pieds, une seule pensée en tête : il est grand, lui aussi.

Il sentit le regard de Lenny sur lui, comme se demandant pourquoi il le regardait avec tant d'insistance ; certainement que le sergent avait compris, à en juger par le sourire qu'il lui adressa ensuite. Il fit quelques pas vers Devlin et attrapa le plat pour le décharger ; se donnait comme mission de faciliter au mieux la vie de ce dernier pour la soirée, une béquille pour qu'il puisse la subir au mieux. Il déposa le plat sur le comtpoir de la cuisine, puis revint vers les invités en regardant les deux chats sortir de sous le canapé - endroit fétiche pour ne pas avoir à dire bonjour. Il voulut alors rassurer immédiatement, au cas où ils viennent à leur feuler desuss.

« — Ils vont s'habituer, ça ira mieux dans la s- »

Il s'arrêta en voyant Trésor entre les jambes d'Ari, le saluer chaleureusement. Les bras croisés contre son torse, il jeta un regard chargé de sens en direction de Devlin, signifiant : Trésor l'aime. Void semblait déjà dans les pattes de Lenny qui avait déjà, évidemment, son approbation. Le sergent s'étant toujours montré merveilleux avec ces deux animaux, leur amenant parfois des friandises pour leur faire plaisir entre deux siestes partagées. Il donna - discrètement - un coup d'épaule à Lenny, l'air de dire : un point pour lui. Heureux que les deux animaux apportent de l'eau à son moulin, il sourit ensuite en se tournant vers le légiste.

« — J'te fais visiter ? »

Il voulut laisser à Devlin et Lenny l'occasion de discuter avant que les festivités ne débutent, et faire preuve de politesse à la fois. Le tour du propriétaire ne serait pas long, mais assez pour permettre aux deux autres hommes de se dire les choses, s'ils avaient besoin de se confier quelque chose. Il fit un mouvement de main pour faire signe à Ari de le suivre et commença la visite - il sauterait seulement la chambre, trop incriminante.



YOU BELONG WITH ME
close your eyes, give me your hand, darling. do you feel my heart beating ? do you understand? do you feel the same ? am i only dreaming ? is this burning an eternal flame ?
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