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 harvester of sorrow (lenny)

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Devlin Tarrare
- madame irma vibes -
Devlin Tarrare
- madame irma vibes -
damné(e) le : o28/10/2019
hurlements : o4506
pronom(s) : oshe / her
cartes : oava fürelise la perfection // sign exordium // montage par jiji la plus jolie // moodboard par le plus parfait des maris
bougies soufflées : o35
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harvester of sorrow
Les finances s'envolaient à vue d'oeil. Tout l'argent du monde ne suffirait pas à combler ses appétits, Devlin avait bien fini par le comprendre. Son monde tout entier tournait autour de ses pulsions, de ses impulsions. Lenny l'avait compris. Lenny l'avait suivi. Mais les grands esprits avaient beau être faits pour se rencontrer, pour s'entendre, pour fusionner le temps d'une grandiose soirée, ils avaient bien fini par se séparer. Trouver un pair dans la foule de vivants avait été comme trouver la proverbiale aiguille dans une botte de foin. Âmes jumelles, unies par le chaos. Mais ils étaient aussi incapables d'épancher leur faim sur l'autre. Ce n'était pas le but de la manoeuvre. Le goût de l'autre au bout des lèvres, une dernière fusion avant de se quitter pour mieux se retrouver.

Et le petit homme derrière le comptoir de cette station service, à la sortie de la ville, qui s'était pissé dessus en croisant le canon du ressuscité. Inutile de compter sur d'autres, quand il était 3 heures du matin et que l'adolescent boutonneux savait qu'il n'était pas suffisamment payé pour jouer aux gros durs. Avait obtempéré très rapidement et s'activait à présent à vider sa caisse, tenu en joue par son visiteur nocturne. L'odeur de sueur piquait autant le nez de Devlin que celle de la pisse, filtrant à travers sa cagoule. Mais elles ne lui posaient aucun problème. Pas alors que la terreur évidente du gamin était un de ces repas que l'on ne se refuse pas. Naseaux grands ouverts, inspirations profondes pour en capter chaque fragment. Le gamin releva les yeux, croisa ceux, enfoncés dans leurs orbites sombres, de l'esprit. La main libre du spectre attrapa aussitôt la mâchoire du caissier. Il l'attira à lui d'un geste sec, approcha son visage du sien. Gueule grande ouverte, sous la cagoule, pompant désespoir, terreur et horreur pendant une longue minute. Peut-être deux. Les hoquets terrifiés du caissiers se transformèrent en sanglots. Entre deux larmes, des suppliques. Eugh. La prise s'affirma sur la mâchoire du caissier. Devlin le repoussa brutalement contre le mur derrière lui et tira dans un membre au hasard. Allez, la cuisse. Bercé par les hurlements de douleur du caissier, il empocha billets et petite monnaie avant de prendre la clé des champs. Une voiture qui n'était ni à lui, ni à son original, l'attendait sagement du côté des pompes à essence. Toute l'énergie apportée par le gamin vibrait en pulsations exaltantes dans ses muscles, portait le présage de tout le bon qui serait à venir. Tout ce règne de terreur qui ne faisait que commencer.

Mais les finances, elles, ne suffisaient jamais. Plusieurs jours depuis sa renaissance, depuis la soirée avec Lenny. Plusieurs méthodes, du vol à la sauvette au braquage de cette station-service, quelques jours plus tôt. Mais ses poches devenaient rapidement très vides, et même s'il avait compris qu'il pourrait se servir des charmes que lui avait offert son original, Devlin ne comptait pas s'abaisser à ça. Ca ne rapportait pas suffisamment pour le temps investi. Exeter était un garde-manger de choix, mais Exeter était trop chère, en particulier avec son train de vie. Et les solutions qu'il avait trouvées jusqu'à présent étaient efficaces, elles ne pourraient pas durer. La montée en flèche de la criminalité faisait la une des journaux. Les voitures de police patrouillaient d'avantage, leurs passagers avec. Les rues n'étaient plus sûres pour les "gens" comme lui. Il n'avait pas prévu de recontacter Lenny, quand ils s'étaient quittés plusieurs jours en arrière. N'en avait pas non plus les moyens, n'ayant pas pris le téléphone de son original. En même temps, qu'allait-il faire d'un appareil pareil ? L'objet était dépassé depuis de nombreuses années, l'écran était fêlé depuis au moins aussi longtemps qu'il était décédé, et la coque laissait particulièrement à désirer. Il n'aurait rien pu en tirer chez un prêteur sur gage. Son original, avec sa petite vie visiblement bien rangée, n'avait même pas eu la décence de lui laisser un téléphone de qualité. Au moins l'alliance, elle, avait un minimum d'intérêt.
C'est là qu'elle avait fini par germer sous les mèches décolorées, l'idée. Son original n'avait pas les mêmes priorités que lui. Mais quand il investissait, il le faisait correctement. Il y avait donc forcément d'autres objets de valeur dans son appartement, que Devlin avait jugés sans la moindre importance lors de son premier passage, juste parce qu'ils n'étaient pas dignes d'intérêt. Pour lui.

Un retour aux sources s'imposait.

*******

Le claquement de porte providentiel retentit enfin. Installé dans la cage d'escalier descendant vers le bon étage, Devlin jeta un coup d'oeil par dessus la balustrade. Une tête couronnée de boucles brunes apparut dans son champ de vision. Les bras chargés d'une enfant babillant, le dénommé Barbie descendit l'escalier, sa voix répondant aux bruits insupportables de sa progéniture. Des frissons de dégoût rampant le long de son épiderme, Devlin attendit que les deux vivants soient suffisamment loin pour se mettre en action. Arriva au niveau de la porte de l'appartement et chercha à l'ouvrir. L'un des grands inconvénients de sa forme actuelle : plus moyen de passer entre les murs. Il aurait pu rassembler ses forces pour tenter de faire sauter le loquet d'un coup de télékinésie. Privilégia le grand coup de pied. Le battant s'ouvrit dans un craquement sinistre. Il ne la repoussa qu'à peine derrière lui.

Les occupants de l'appartement avaient remis de l'ordre, après son premier passage. Devlin avisa la télévision, jugea qu'elle pourrait toujours lui être utile lors d'une éventuelle future visite. L'odeur caractéristique des enfants irritait son odorat, celle du sucre, omniprésente, lui filait la nausée. Impossible de savoir combien de temps il faudrait à Barbie avant de revenir avec son chiard. Il courait aussi le risque d'être interrompu par son original lui-même. Il fallait faire vite. Viser utile. Et beaucoup. Il commença donc directement par la suite parentale. Tira un sac de sport qui n'avait jamais servi du dressing, et entreprit de vider tout ce qu'il pourrait trouver. Bijoux, objets de valeur. Beaucoup de camelote dans les tiroirs, mais au point où il en était, tout était mieux que rien. Ce Devlin n'avait vraiment pas les mêmes priorités que lui. D'autres priorités. La chambre de la gosse. Jackpot.

Le sac pesant nettement plus lourd, à son épaule, il continua de passer chaque pièce au peigne fin. Il avait vu juste, en fouillant la chambre aux couleurs criardes. Avait tiré deux trois objets qui pourraient lui rapporter de quoi s'offrir un ou deux nuits selon ses standards au Tartarus. Rien dans la salle de bain, rien dans la cuisine. Retour au salon, retour dans les poches des vêtements, manteaux et tiroirs divers. Si seulement il pouvait remettre la main sur le téléphone de l'autre. Le nez penché sur son sac, occupé à y fourrer une switch qui avait vu des jours meilleurs, il entendit un bruit du côté de l'entrée. Glissa une main lentement vers la crosse du 9mm calé dans la ceinture de son pantalon en vinyle rouge, prêt à s'en servir selon qui venait de s'inviter à sa petite fête. Il se retourna vers l'intrus, une excuse toute faite au bord des lèvres. Ces dernières s'étirèrent en reconnaissant un visage plus que familier.

-Hey, buddy !

Lenny. Précisément celui qu'il comptait appeler, s'il avait réussi à retrouver ce foutu téléphone. Il lui adressa un sourire de travers, détendit sa prise sur la crosse de son arme. Remarqua le regard dubitatif de son pair sur l'état de la porte d'entrée. Un haussement d'épaules :

-Forgot my keys. And that's faster than having to wait for a locksmith. I was about to leave, you're coming ?

Ce disant, Devlin enfila la lanière du sac à son épaule. Il n'avait pas vidé la totalité de l'appartement mais le temps était compté, et rien ne l'empêcherait de revenir une troisième fois pour parachever son œuvre. D'autant que Lenny n'avait pas cet air aussi assuré qu'il lui avait connu, lors de leur soirée passée ensemble. Froncement de sourcils. Si l'autre gars lui faisait une histoire, esprit ou non, il aurait à gérer ça tout seul. Devlin n'avait ni le temps, ni l'envie de gérer un cas de conscience, encore moins alors que les propriétaires des lieux risquaient de débarquer à tout moment.

-I said, are you coming ?

Insistance. Chaque mot bien articulé, au cas où Lenny ne l'ait pas compris la première fois. A moins qu'il ait compris quelque chose de similaire, mais d'entièrement différent. Un "oh" prolongé s'échappa des lèvres du blond. Il ne l'avait pas vu sous cet angle, mais maintenant que l'idée venait de filer sous ses mèches décolorées, c'était vrai qu'elle avait du potentiel. Un rictus s'étira sous la moustache noire. Il reposa son sac au sol et finit par louvoyer en direction de l'autre âme. Leva les yeux pour mieux les nicher dans les prunelles sombres de son acolyte.

-Guess we can stay for a couple of minutes. I'm partial to the master bedroom, but you can pick the kid's if that tickles your fancy. Once we're done, we gotta fuck off.

Ses mains se posèrent naturellement sur le torse de Lenny, joueurs. Capturèrent une chaleur qui n'avait rien d'habituel quand on en venait à son partenaire de jeu. Il repoussa légèrement l'autre homme du bout des doigts, s'assurant en même temps qu'il n'avait rien imaginé. Non, Lenny était chaud. Comme un vivant. Comment avait-il fait ça ? A moins que...

-Why are you here ?





L O V E
by QQ & EXORDIUM.

quand Barbie vit mal son régime:
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Lenny Myers
- responsable à jardiland -
Lenny Myers
- responsable à jardiland -
damné(e) le : o07/04/2022
hurlements : o1639
pronom(s) : oshe/her.
cartes : o(av/cs/icons) fürelise (sign/cs/gif) tucker.
bougies soufflées : o32
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harvester of sorrow
Les évènements récents n'avaient aucun sens au regard de Lenny, l'animosité qu'il ressentait autour de lui ne lui accordait aucun moment de répit. Les appels n'arrêtaient pas, des agents toujours près du téléphone pour recueillir les dépositions d'habitants relevant peur et surprise. La criminalité était en hausse, poursuivait toujours plus rapidement sa course folle malgré les efforts des forces de l'ordre pour endiguer les activités illégales qui sévissaient en ville. Lenny était resté au poste de plus en plus tardivement au cours de la semaine passée, ne dormant qu'une fois trop épuisé pour continuer ses lectures ; il lui était arrivé de s'endormir à son bureau, la tête sur ses bras, sans s'en rendre compte. Le commissariat était trop débordé pour prendre soin des siens, plus personne pour demander à tel ou tel visage de rentrer prendre du repos, pas quand la ville entière réclamait de l'aide. Le sergent avait prévenu Dick qu'il multiplierait les heures supplémentaires tant qu'il faudrait, qu'elle pouvait compter sur lui. Au fond, elle le savait déjà. La fatigue avait beau l'avoir gagné dès les premiers soirs à s'épuiser sur des dossiers qui n'en finissaient pas de s'entasser, Lenny n'avait rien lâché, attendant d'être renvoyé chez lui de force pour quitter les locaux de la police. Il avait envoyé un message à son fiancé de temps à autre, entre deux pauses café, pour prévenir qu'il ne rentrerait que de plus en plus tard, de plus en plus déchargé de ses batteries. Il ne descendait plus à la morgue, n'en avait plus le temps. Pourtant rien de leurs échanges, ni de son état, n'aurait pu le préparer à ce qu'il avait trouvé en rentrant retrouver l'amour de sa vie.

Le vide.
Un vide oppressant qu'il n'avait pas compris, pas même après avoir essayé, en vain, de contacter le médecin légiste.

L'appel vers le téléphone de Stuart avait été des plus brefs ; simple résumé en quelques mots lui demandant de ne plus appeler. Tu crois pas que tu lui as fait assez de mal comme ça ? La remarque tournait en boucle dans son esprit, l'empêchait de dormir malgré les cernes qui bordaient déjà un regard terne. Le besoin d'aide, d'anesthésier son esprit par tous les moyens, l'avait mené jusqu'au club où son ami avait pu l'honorer de sa compagnie. Il n'allait pas mieux pour autant, pas alors que l'incompréhension se mêlait à une peine qu'il ne pouvait masquer par un sourire qui refusait de se former, malgré ses efforts pour paraître plus apaisé.
La boule qui s'était formée à l'entrée de sa gorge l'empêchait de respirer lorsqu'il regardait son téléphone et remarquait qu'il n'avait toujours pas reçu de réponse à ses messages. Ari ne voulait plus du tout lui adresser la parole, ou alors son meilleur ami lui avait pris son portable pour l'empêcher de s'adresser à lui. Il n'en savait rien, mais la finalité était la même. L'aide dont il avait besoin ne pouvait venir que de son fiancé – ancien fiancé ? – il lui fallait donc y trouver une substitution le temps de résoudre l'affaire, de comprendre ce qu'il avait bien pu faire pour mériter un traitement pareil. Il l'avait délaissé ces derniers jours, travaillant bien plus et rentrant toujours plus tard ; mais il n'aurait jamais cru Ari autant affecté par ces heures de travail supplémentaires.

Le moral dans le fond des chaussettes, il n'était pas sorti de son appartement de la journée. Il ne se souvenait pas d'avoir mangé mais son estomac ne réclamait aucun carburant pour faire fonctionner son système. Il ne savait pas combien de jours s'étaient écoulés depuis le drame ; ses sentiments pensaient que c'était la veille tant ils étaient toujours à vifs, mais son âme, elle, ressentait le poids de plusieurs années d'amour. Il se sentait seul. Il se sentait vide. Il se sentait mort. Au fond, aucun moyen de comprendre ce qui lui coûtait le plus entre l'abandon et l'incompréhension – un pur sentiment d'injustice face à la rupture. Il devait se resaisir, sortir de son appartement pour ne pas faire une grosse bêtise ; Jenna n'était pas là pour l'en empêcher. L'idée de prendre la route n'était pas plaisante pour lui, mais elle était nécessaire pour sa survie. L'espoir au cœur, comme s'il s'agissait d'un moteur suffisant pour tout changer, il s'était rendu devant le domicile d'Ari. Vide. La peine rendait la conduite difficile, légèrement brusque, mais Lenny avait enfourché son vélo et quitté la rue en vitesse.

Direction : l'appartement de ceux qui avaient toujours les bons mots.
Les Tarrare et leur bout de chou.

Il avait besoin de voir son meilleur ami, de savoir que si l'amour était trop grandiose pour s'adresser à lui, l'amitié ne lui tournerait pas le dos. Le monde devenait toujours plus coloré, plus appréciable lorsque Lenny avait sa filleule dans les bras. Millie était un cadeau du ciel qui pouvait mettre du paume sur les cœurs les plus abîmés. Il avait besoin de son innocence, de ses sourires. L'appartement du couple marié était un cocon tout en couleur qui avait recueilli bon nombre de ses peines. Il en subirait une de plus. Les mains crispées sur le guidon, il avait alors pédalé pour rejoindre le fameux havre de paix. Il n'avait pas prévenu Devlin mais savait qu'il n'en avait pas besoin, était toujours le bienvenue quoiqu'il arrive. Les gestes vifs, il avait abandonné le vélo dans un coin et s'était précipité vers la porte de l'appartement à l'étage.

En avançant vers la porte, il arqua un sourcil. La porte n'était pas fermée, pire encore, semblait avoir été forcée – assez brutalement. L'éveil du sergent le fit avancer en silence au cas où il aurait à appeler des renforts. Ils avaient été cambriolés ? De là où il se trouvait, il n'avait aucune vue dégagée sur l'appartement, ne pouvait savoir si les ravisseurs étaient encore dans l'appartement ou non. Il porta une main à sa ceinture par réflexe, près à attraper son arme en cas de besoin. Il ne l'avait pas sur lui, merde. Il pénétra quand même dans l'appartement d'un pas prudent et soupira en voyant son meilleur ami au milieu du salon. « — Everything all right? » Il jeta un regard vers la porte en sale état puis autour de lui en entendant l'excuse de Devlin. Il grimaça, hésitant à lui demander pourquoi il ne s'était pas contenté de lui passer un coup de fil pour avoir son double. L'esprit perdu dans la brume, il eut du mal à comprendre le sens de ses phrases tant elles lui semblaient incohérentes. Le regard accroché à celui de son meilleur ami, essayant de comprendre ce qui se passait, il cligna plusieurs fois des yeux en l'entendant poser sa question une nouvelle fois. Partir ? Où ? Il prit une profonde inspiration afin de préserver son calme.

Rien ne faisait sens à ses yeux. Il ne fit aucun commentaire sur la nouvelle coiffure de son ami, se focalisa sur le sac qui pendait à son épaule. Il était sans voix face à l'attitude du divinateur, comme s'il lui avait retiré la possibilité de parler seulement en un regard. « — For what? » Le regard du sergent passa des chambres à son ami avant de se reporter sur le sac. « — What’s in the bag? »  Trop de questions lui venaient à l'esprit pour qu'il se contente de répondre à sa question. Il recula en sentant les doigts de Devlin sur son torse, pas certain de comprendre où il voulait en venir, puis leva les deux mains pour mimer un temps mort le temps de comprendre pourquoi le monde avait cessé de tourner rond. « — I came to see you, Ari still doesn’t want to see me. I needed to... Il ne termina pas sa phrase, trop absorbé par l'état général de la situation qui n'était pas normale ; quelque chose clochait dans le tableau. Sunny, you okay? Where's Barbie? » Il regarda autour d'eux, toujours surpris et nota dans un coin de sa tête que Trésor n'était pas venue se frotter à ses jambes, Void non plus ; ils devaient dormir dans un coin, ou ne pas l'avoir entendu arriver. Sinon, de quoi se cachaient-ils ? La main levée vers l'épaule de son meilleur ami, il lui fit signe de donner le sac. « — I’ll carry it for you. It looks full, how long are you plannin' on leaving? » Il attendait encore de savoir où il comptait aller surtout, quelque chose lui disait que la réponse ne lui conviendrait pas. Il s'était disputé avec Barbie ?



THE NIGHT'S ON FIRE
the promises we made were not enough. the prayers that we had prayed were like a drug. the secrets that we sold were never known.
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